MiFi 2372
quand l’accès au Net est essentiel
Et là, tadam ! Comme s’il m’avait entendu, monsieur Rogers m’a prêté pour quelques jours son dispositif MiFi 2372,
un mini mini routeur 3G (GSM, HSPA, c’est-à-dire en français marketing,
un “point d’accès mobile intelligent sans-fil”, fabriqué par la
Californienne Novatel Wireless,
qui permet de desservir simultanément jusqu’à cinq dispositifs WiFi
(ordi, iPod, imprimante, console, etc.) dans un rayon de 30 pieds.
Mini mini ? Mets-en mon Armand! Regardez les deux photos ci-après. Sur la première, vous apercevez le BlackBerry de ma blonde et sur l’autre, mon iPhone, tous deux cachés par le MiFi. Autrement dit, le bidule est loin d’être encombrant. Il se présente avec un petit câble USB à embouchure propriétaire (vous le perdez, vous devez retourner dans une boutique Rogers) et un câble chargeur pouvant gaver l’appareil d’une autonomie de 4 heures (pile lithium-ion).
Mini mini ? Mets-en mon Armand! Regardez les deux photos ci-après. Sur la première, vous apercevez le BlackBerry de ma blonde et sur l’autre, mon iPhone, tous deux cachés par le MiFi. Autrement dit, le bidule est loin d’être encombrant. Il se présente avec un petit câble USB à embouchure propriétaire (vous le perdez, vous devez retourner dans une boutique Rogers) et un câble chargeur pouvant gaver l’appareil d’une autonomie de 4 heures (pile lithium-ion).
De plus, il dispose d’une fente où on peut insérer une carte
microSDHC pouvant aller jusqu’à 16 Go pour stocker et partager des
fichiers. C’est malheureusement une fonction que je n’ai pu essayer
faute d’avoir une telle carte sous la main. Avoir pu, j’aurais été en
mesure de témoigner que les cinq dispositifs mobiles raccordés en mode
WiFi au petit MiFi, peuvent effectivement s’échanger des fichiers comme
si le bidule de Rogers était un disque réseau (NAS).
Toujours est-il qu’hier, j’ai testé le MiFi sur un PC Windows en mode
réseau filaire USB, ce PC ne disposant pas de carte WiFi. Puis, j’ai
continué, cette fois en mode WiFi, sur un Mac et un PC Ubuntu. Dans les
trois cas, ce fut un petit charme. Observez les prises d’écran qui
suivent. Dans un premier temps, il faut expliquer au système
d’exploitation (ici sous Ubuntu, mais c’est la même chose sous Windows
et Mac OS X) que le bidule a besoin d’un code WPA pour nous laisser
accéder au Net. Ensuite, tout se fait naturellement.
Ainsi (je m’en serais voulu de ne pas essayer), j’ai “emprunté” le
iPod touch de ma blonde, juste pour voir ! Après la passe du WPA, le
baladeur Apple s’est branché comme si de rien n’était sur le MiFi du
père Rogers. Autrement dit, le iPod était devenu un “vrai iPhone”
capable de se connecter en mode 3G, un iPhone à qui il ne manquait plus
que le téléphone … ou à peu près (prise d’écran ci-après). Je vous
rappelle que le iPod touch ne dispose que de la fonction WiFi. Dès que
l’on prend la route, il ne peut plus servir à la connexion Internet.
D’où l’intérêt du MiFi.
Par ailleurs, je suis allé vérifier la capacités GPS du petit
appareil. En mode “assistance MS” (les autres ne fonctionnaient pas), il
m’a donné mes coordonnées et, à ma demande, m’a renvoyé au service
cartographique de Google (première illustration ci-après).
Enfin, côté vitesse, c’est du 3G et rien d’autre. Observez les deux
prises d’écran ci-après. L’une indique ma vitesse de connexion 3G, soit
2,185 Mb/s la seconde, la vitesse de ma connexion par câble, soit 7,048
Mb/s.
Permettez=moi en terminant de vous aviser que d’ici vendredi matin,
je serai aux États-Unis où je couvrirai un événement Symantec. Je vous
informe donc que toutes mes dépenses professionnelles seront prises en
charge par la fabricante de logiciels bien connue.
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