Gendarmerie Royale

 

Un gendarme de la brigade de Taznakht a été déféré devant le juge d’instruction de la Cour d’appel de Ouarzazate, pour avoir usé de violence à l’encontre de Mohamed Aït Ben Ali, un Marocain résidant en Belgique, et saisi son argent sans raison légale.

L’affaire remonte à novembre dernier, quand la victime s’était rendue au Maroc pour construire une clinique sur une surface de 2000m² à Ouarzazate.
Mohamed Aït Ben Ali affirme avoir été arrêté à tort le 1e décembre dernier et déféré devant le procureur général, pour une histoire d’enlèvement et de séquestration d’une mineure, laquelle a d’ailleurs par la suite témoigné en sa faveur.
L’homme, également jugé pour ne pas avoir porté secours à une personne en danger et non dénonciation de crime, avait été condamné par le parquet de Ouarzazate à trois mois de prison ferme.
Innocenté par la Cour d’appel de Ouarzazate, Mohamed Aït Ben Ali veut aujourd’hui savoir pourquoi il a été accusé d’un crime qu’il n’a pas commis.

 

Un gendarme de la brigade territoriale d’Aït Amira, dans la région d’Agadir, s’est donné la mort à l’aide de son arme de service jeudi.

L’homme qui d’après la police souffrait de troubles psychologiques et de problèmes familiaux, se serait tiré deux balles dans le corps. Il est décédé peu après à l’hôpital militaire d’Agadir.
Une enquête a été ouverte par le procureur général, lequel a également ordonné une autopsie du corps du fonctionnaire.
En 2011, plusieurs incidents similaires ont eu lieu au Maroc. En janvier et en mars de l’année dernière, deux policiers de Casablanca s’étaient suicidés à l’aide de leur arme de service. Un troisième cas a été noté la même année dans la région d’Agadir, quand un policier a tué une jeune femme avant de se suicider.

 

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